Témoignages
Quelques retours sur la Journée de Conception de Haies Fourragères pour les chevaux
Aurélie, propriétaire de chevaux, amatrice de promenade à cheval
Oui! La formation va m’aider dans mon projet et même plus avec un questionnement sur une équipière et la gestion des parcelles 🙂 J’ai beaucoup aimé la dimension pratique avec les moments en extérieur et l’accessibilité des techniques présentées.
Alice, propriétaire de chevaux et amatrice de randonnée
Je suis armée pour mon projet: de la technique, de la pratique, de la littérature et de la mise en application! La participation de chacun était agréable et le partage des projets de chacun dans différents contextes.
Céline, propriétaire de chevaux
J’ai beaucoup appris, compris sur notre rôle et impact sur notre environnement. Cette formation va me permettre de travailler sur mes haies pour mes chevaux et de préserver l’environnement.
Steeve, propriétaire d’un centre équestre
J’ai plus qu’à me lancer, à mettre en pratique et apprendre sur le terrain. J’ai bien apprécié l’alternance entre la théorie et les moments d’observation et de pratique à l’extérieur.
On parle de la Journée dans Ouest France et sur France Bleu Touraine
Alice et Louise, interviewée par Ouest France à Villiers-en-Plaine
« Je suis venue avec énormément de questions et d’incertitudes. Je repars armée pour réaliser mon projet avec de nouvelles connaissances, des techniques et une approche d’éco-conception, tant écologique qu’économique », indique Alice C, propriétaire de chevaux. « Un bon complément de connaissances pour allier les plantes et le milieu équin », dit Louise T., également propriétaire de chevaux.
Extrait de l’article publiée par France Bleu Touraine à Rochecorbon
Concevoir des haies fourragères en permaculture, c’est aussi planter (ou laisser pousser) pour l’avenir !
Nelly a déjà suivi cette formation une première journée et convaincue, elle l’accueille aujourd’hui chez elle, dans ses prés, à Rochecorbon. (…)
En tant que propriétaire d’équidés, elle souhaitait aussi pouvoir planter des espèces végétales non toxiques pour ses chevaux (il en existe de nombreuses).Lire l’article complet ou écouter le podcast réalisé par France Bleu Touraine
Quelques retours sur les Week-End d’initiation à la permaculture
Jade, jeune active qui souhaite s’orienter vers l’agriculture
J’ai découvert l’aspect humain de la permaculture, que je ne soupçonnait pas parce qu’il ne ressort pas (du tout parfois) dans les vidéos YouTube que je regardais. Je retiens l’observation, l’écoute, le fait d’essayer et d’apprendre de ces expériences, la complémentarités des espèces, le fait d’avoir un beau jardin dans lequel on se sente bien, l’importance des bordures, du partage, …
Joanne, porteuse d’un projet d’aménagement d’une forêt-jardin en Normandie
J’ai appris beaucoup de choses au cours du week-end, et j’ai particulièrement apprécié les aspects théoriques et pratiques au jardin et sur powerpoint. La rencontre avec Jérémie et Cécile est très agréable, ainsi que la rencontre avec le groupe. Le site de la ferme de Grivery contribue aussi à la formation et aux activités.
Un retour après un atelier sur les haies diversifiées et comestibles
Blandine qui voulait implanter une haie fruitière chez elle
Je me sentais un peu perdue au milieu de mes recherches avec un plan de haie fruitière fait mais sans oser passer à l’action pensant que j’avais dû « rater des trucs » Là je vais grâce à vous passer à l’action !
Mathilde & Philippe R., propriétaire à Bourg-la-Reine
Mathilde & Philippe nous font un retour suite à leur participation à l’Atelier Zéro Déchet au Jardin et Fertilité du Sol que nous avons proposé à la Ville de Bourg-la-Reine.
Des « déchets » verts à la butte : nos premiers pas en permaculture
Un atelier « permaculture » organisé en automne 2018 par notre commune de Bourg-La-Reine nous
a permis de prendre conscience que les déchets verts de nos jardins (tontes de gazon, feuilles
mortes, rameaux d’élagage d’arbres, etc…) sont évacués quasi systématiquement via le système de
collecte (les « poubelles vertes ») avec deux conséquences : un appauvrissement des terres en
matière organique et en nutriments et un coût financer / environnemental pour la collectivité.
Nous avons réalisé que ces soi-disant « déchets » constituent un véritable trésor. En effet, bien
valorisés, notamment utilisés pour le paillage, en compostage pour produire du terreau, lors de la
construction de buttes de permaculture ou de haies sèches, ils permettent de revitaliser nos jardins
tout en favorisant la biodiversité.
Notre terrain a une terre argileuse, dure, compacte qui a beaucoup souffert des sècheresses passées.
Le manque de matière organique est criant. En créant des buttes de permaculture, nous avons pu
nous affranchir d’un sol pauvre : nous avons commencé par édifier à l’automne 2018 quelques
mètres linéaires de butte de permaculture, en utilisant toutes les matières végétales disponibles
(branches d’arbres issues de l’élagage, compost – nous avions déjà un composteur fourni par le
territoire pour le recyclage de nos déchets ménagers organiques -, broyat, matières vertes
récupérées au marché de Bourg La Reine et terreau).
Après le repos hivernal, nous avons débuté nos premiers semis (radis et roquette), puis complété
avec des salades, puis avons mis en place avant l’été les plants de tomates et semé les courgettes.
Nous avons fait quelques essais limités avec des carottes, pommes de terre, ail et oignon et semés
des graines de soucis.
Bilan de cette première saison : radis, salades, tomates et courgettes étaient au rendez-vous, sans
engrais ou pesticides (il a fallu quand même un peu partager les salades avec limaces et les
escargots !). Le paillage a permis une bonne gestion des ressources en eau en maintenant un sol
humide, et peu d’arrosage a donc été nécessaire. Cette démarche de permaculture a aussi permis
d’échanger avec nos voisins et de rencontrer d’autres habitants de la commune.
Objectifs pour la saison prochaine : poursuivre l’extension des buttes, mieux associacier les espèces
végétales complémentaires (c’est le principe du « compagnonnage »), diversifier les plantations … et
encore plus communiquer avec les autres « permaculteurs » de Bourg-La-Reine en échangeant des
conseils sur nos expériences ou en partageant graines et plants afin d’augmenter la biodiversité dans
nos jardins et espaces verts partagés.Philippe & Mathilde